Privation, pression sociale, sentiment de gêne ou de honte : la réalité et le vécu des (parents) pauvres sont très lourds. Ils se débrouillent, s'accrochent, utilisent toutes les ficelles du "système", pour tenter au mieux d'être responsables de leurs enfants.
Texte de Christine MAHY dans la revue "POLITIQUE"