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Médias

Elles appellent à adapter des mesures qui respectent les droits humains!

Après l’organisation de défense des droits humains Human Rights Watch (HRW) jeudi, Unia, Myria et le service de lutte contre la pauvreté, la précarité et l’exclusion sociale ont appelé vendredi à ce que les mesures de lutte contre la propagation du covid-19 soient appliquées dans le respect des droits humains. Ces institutions se disent « préoccupées » par les conséquences « particulièrement lourdes sur de nombreux groupes dans la société ».

« Pour de nombreuses personnes en situation précaire, cette crise risque de devenir particulièrement traumatisante, au-delà du risque sanitaire qu’elles courent en tant que groupe à risque. Leur situation était déjà difficile, et cette crise menace d’accentuer les inégalités dans notre société », relèvent-elles.

 

Lire l'article ICI

"Une opinion de Christine Mahy pour le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, de Nicolas Dekuyssche pour le Le Forum – Bruxelles contre les inégalités, de Caroline Van der Hoeven pour le Belgisch Netwerk Armoedebestrijding, de Céline Nieuwenhuys pour la Fédération des Services Sociaux, de Georges de Kerchove pour ATD Quart Monde, d'Alexandre Seron pour Médecins du Monde et de Luc Lefèbvre pour Luttes Solidarités Travail (LST).

En temps normal, les personnes vivant dans la pauvreté ont un accès plus difficile que les autres aux soins et aux services. La période de troubles que nous traversons actuellement les précarise encore davantage et les plus pauvres courent le risque de se retrouver totalement isolés socialement et de manquer de ressources essentielles. Les organisations de lutte contre la pauvreté ont donc décidé de présenter des recommandations concrètes aux gouvernements locaux, aux prestataires de services et aux écoles pour ne pas laisser les personnes en situation de pauvreté seules face à cette crise..."

1) Prendre des mesures prioritaires face aux situations d’urgence grave

2) Compenser le manque de rentrées financières et trouver des solutions économiquement supportables

3) Assurer l'égalité des chances en matière d'éducation dans le cadre des mesures de confinement

4) Contactez les personnes les plus vulnérables

[Lire l'Opinion complet ICI]

 

Le fait du jour: Sommes-nous tous égaux face à ce confinement ? On en parle avec Christine MAHY, secrétaire générale du Réseau wallon de Lutte contre la Pauvreté

 

écouter l'émision ICI

"La pauvreté

La lutte contre la pauvreté est un autre axe majeur de la politique arc-en-ciel. Sur ce point aussi, on attend un plan en bonne et due forme. « Il se complétera avec le plan de transition », insiste le ministre-président. Chaque ministre a eu droit à un entretien bilatéral avec le ministre-président afin d’évoquer la meilleure manière d’intégrer cette dimension dans les dossiers qui sont de son ressort. Sur le terrain, on observe : « Je ne peux pas dire que le démarrage a été rapide, mais on sent que cela bouge », explique Christine Mahy, du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté.

« Sur le fond, poursuit-elle, les premiers contacts que nous avons eus avec le gouvernement témoignent d’une écoute afin d’apporter des réponses structurelles au problème. Il faut retenir les leçons du passé et éviter d’établir un catalogue de mesures et d’accoucher de solutions à des situations d’urgence. Nous voulons créer un cadre organisé, qui permet d’agir préventivement et d’accompagner le plus vite possible les personnes en difficulté. Rien ne pourra se faire toutefois sans des budgets ad hoc. »

Le plan de lutte contre la pauvreté devrait voir le jour avant l’été également."

Lire la suite de l'article ICI

"Une fois par mois, axelle prend une personnalité par la main, pour la connaître... sur le bout des doigts.

En mars, axelle donne la parole à Christine Mahy, secrétaire générale et politique du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté. Une personnalité engagée qui croit fermement aux victoires collectives et qui se bat pour plus de justice sociale !"

Lire l'article ICI

"Les établissements imaginent différents systèmes pour alimenter la caisse de solidarité, avec quelques dérapages. Organiser une fête ou un événement, c’est replonger dans le portefeuille des parents à qui ces événements sont principalement destinés… "Les plus pauvres sont de facto exclus de ces activités", critique Christine Mahy du réseau wallon de lutte contre la pauvreté, qui insiste aussi sur la discrétion qui doit protéger toute demande d’aide. Et pas question que celle-ci doive être justifiée." Lire l'article ICI

 

"Je pense qu'aune école ne devrait jamais avoir recours à un huissier ou à une société de recouvrement pour plusieurs raisons : l'école est obligatoire et il est prévu dans la constitution qu'elle soit gratuite. D'une part, la gratuité devrait être prévue et d'autre part, à partir du moment où on estime que les écoles deviennent des établissements commerciaux - parce que quand on fait appel à des huissiers et des sociétés de recouvrement, c'est qu'on estime que c'est un objet commercial - et bien, j'estime qu'on détourne l'école de son objectif et de ce qu'elle doit représenter dans la société."

L'article ICI

 

"A la demande de la CSC, l’UCLouvain a interrogé près de 1.000 demandeurs d’emploi. Résultat : l’impact du chômage sur le mode de vie, les soins et les relations des individus est manifeste." Certain.e.s TVM ont participés à cette étude.

Pour lire l'article Complet ICI

 

"L'idée a été lancée par la présidente de la Commission européenne. Pour le réseau wallon de lutte contre la pauvreté, cette mesure serait la moindre des reconnaissances pour les travailleurs."

Lire l'article au complet ICI

 

Pas facile de finir le mois quand on travaille à temps plein et qu'on gagne tout juste ce qu'il faut. Encore moins quand on a le malheur de tomber malade ou de faire face à un imprévu. Pour offrir un confort de vie décent aux travailleurs, la Commission européenne a annoncé le 14 janvier le début d'une réflexion sur le salaire minimum auquel tous les citoyens auraient droit. L'idée: l'harmoniser (ou du moins réduire les écarts les plus criants) dans les différents pays de l'Union et instaurer un cadre et des critères qui tiendront compte des réalités économiques de chaque pays. Actuellement, un citoyen polonais perçoit un salaire minimum d'environ 520 euros bruts mensuels alors que celui d'un Luxembourgeois avoisine davantage les 2.000 euros. En Belgique, il tourne autour de 1.500 euros. Mais, selon le commissaire européen à l'emploi, Nicolas Schmit, les salaires minima de certains états membres "ne garantissent pas un niveau de vie digne". C'est principalement le cas dans les pays de l'est de l'Europe tels que la Roumanie, la Bulgarie ou la Hongrie. La Commission européenne a accordé six semaines aux patrons et syndicats pour dresser un premier bilan. Il faudra ensuite attendre que l'exécutif lance une deuxième consultation et présente un texte au Parlement européen en septembre prochain. Le chantier s'annonce long et rien n'indique que les 27 (bientôt 26) parviendront à un accord. Surtout, que, dans plusieurs pays européens, des négociations devront déjà être entamées sur le plan national.

Et en Belgique ? 

Le salaire mensuel belge, par exemple, n'est pas fixé par la loi. "Traditionnellement, la formation des salaires et par conséquent leur montant (y compris le salaire minimum) est déterminée par les partenaires sociaux et les conventions collectives de travail. Dans de nombreux comités paritaires, il y a des accords qui sont établis sur les salaires minima liés aux différentes fonctions. Ces accords sont contraignants pour les employeurs qui relèvent d'un tel comité paritaire", peut-on lire sur le site de la CGSLB, syndicat libéral. Reste que ceux qui n'en font pas partie n'ont aucune obligation légale vis-à-vis de leurs employés.

Le salaire minimum protégerait les gens et consoliderait leurs droits

Un salaire minimum à échelle nationale serait-il la solution pour assurer un confort de vie décent aux citoyens belges ? Du côté du réseau wallon de lutte contre la pauvreté on voit le projet d'un bon œil. "Un salaire minimum légiféré serait intéressant. Il protégerait les gens et consoliderait leurs droits", juge Christine Mahy, secrétaire générale et politique du réseau. Elle pointe du doigt un problème majeur dans la société belge actuelle : le salaire alloué à une importante partie des travailleurs ne leur permet pas de vivre correctement. "Les travailleurs offrent de leur temps, de leur corps, de leurs méninges et même parfois des trois à la collectivité. Tout ça mérite salaire et compensation. Quand on offre de l'usure, il est légitime d'attendre un revenu qui permet d'assurer les frais liés à la santé, la nourriture et les imprévus sans devoir se serrer constamment la ceinture et se rendre aux Restos du cœur en fin de mois parce qu'on n'a plus de quoi vivre", détaille Christine Mahy.

En Wallonie, un tiers de la population ne sait pas constituer une épargne et près de 40% affirme ne jamais partir en vacances. Parmi eux, des travailleurs à temps plein. En plus de pouvoir vivre dignement tout en assurant les aléas de la vie, le salaire minimum se devrait d'offrir une épargne pour les imprévus et les factures annuelles ainsi qu'un budget alloué aux plaisirs. "Les citoyens ont droit à l'aisance et à la sérénité. Tout le monde doit pouvoir partir en vacances quelques jours par an et aller au cinéma sans culpabiliser. Pour une importante partie de la population, on est loin du compte. Les imprévus et les accidents ne sont pas stockés et, le jour où ils surviennent, ils produisent un trou important dans le budget."

Le choix du montant

Difficile d'estimer à quel montant ce salaire devrait être fixé. Avec la campagne " Fight For 14€ ", les syndicats belges militent pour un salaire minimum brut de 14€ de l'heure, soit 2300€ bruts par mois. Un montant loin du salaire minimum moyen actuel. Le réseau wallon de lutte contre la pauvreté défend également la mesure, mais estime que ces 14 euros bruts de l'heure sont "le minimum du minimum, il faudrait qu'aucun salaire soit en-dessous de ça. Une personne seule qui doit s'assumer entièrement a déjà du mal à le faire avec 1400 euros nets. Il ne faut surtout pas qu'il lui arrive un pépin."

©Belga Images

Pour Christine Mahy, élaborer et estimer un salaire minimum ne sera pas simple. D'autant plus si l'usure et la difficulté de certains emplois sont également pris en compte. "Mais je pense malgré tout que la Belgique dispose des outils, des connaissances, des analyses et des moyens nécessaires pour le mettre en place. Reste à savoir si, pour nos politiques, une telle mesure prévaudra au fait de favoriser les actionnaires et de toujours creuser davantage l'écart entre les riches et les pauvres..."

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"Faire reculer la pauvreté et les inégalités, c’est son combat, sa raison de vivre. Chaque jour, sur le terrain, Christine Mahy rencontre des personnes en situation de précarité, parfois extrême. Secrétaire générale (et politique) du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP), elle porte la voix de ceux qu’on n’entend ni n’écoute : les pauvres, les démunis, les sans-voix, avec ou sans toit, avec ou sans papiers, exclus, sans boulot, sans revenus décents, tous ceux auxquels la société ne donne pas une juste place… "Je ne vois pas d’autre valeur essentielle que la solidarité pour que tout le monde traverse la vie le moins mal possible. Il faut être solidaire. Cela devrait être le ciment. C’est une évidence", dit-elle."

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