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Médias
"A contrario, la pandémie de covid a davantage enfoncé dans la précarité les personnes qui se débattaient déjà dedans avant mars 2020. « On parle ici des chômeurs, ainsi que des malades de longue durée, des allocataires sociaux et des travailleurs pauvres, notamment ceux contraints au travail à temps partiel », détaille Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté. « Pour toutes ces personnes sans épargne, la moindre perte de revenu ou dépense supplémentaire est un problème. Or, le travail en ALE ou en titres-services s’est contracté avec la crise, tandis que le confinement a dopé la facture d’eau et d’énergie et a contraint des familles à s’équiper en informatique pour leurs enfants en scolarité à distance ». En conséquence, estime Christine Mahy, « la crise sanitaire a renforcé les inégalités existantes » et la dualisation de la société, comme le souligne aussi Test-Achats."
"Le 13 mars 2020, le secteur culturel fermait, pour la première fois, face à l’arrivée du coronavirus dans notre pays.
Nous sommes aujourd’hui un an plus tard : un an de silence pour la culture. Alors, ce samedi, le secteur a décidé de se faire entendre, dans tout le pays.
Dans plusieurs lieux à Bruxelles, les comédiens, chanteurs ou musiciens, ont enchaîné les performances le temps d’une journée. C’était notamment le cas autour de la Place du Jeu de Balles, au coeur des Marolles"
"Alter Échos : Il y a un an, vous nous disiez qu’avec cette crise du coronavirus, on découvrait à quel point tous les services sociaux étaient des services paratonnerres par rapport à la pauvreté, des services qui permettaient à la société de tenir malgré des inégalités fortes. Vous ajoutiez qu’il fallait être soit sourd, ou aveugle, pour ne pas voir que la vulnérabilité était intense dans notre pays. J’imagine qu’aujourd’hui, un an après, il reste encore des « aveugles »…"
"C’est la volonté de se rencontrer et de briser l’isolement des associations qui a motivé l’organisation du webinaire du 17 décembre dernier sur le thème de la lutte contre la pauvreté en temps de Covid-19, et le travail essentiel des associations soutenues par Action Vivre Ensemble.
En effet, si le coronavirus a frappé partout, son impact s’est particulièrement fait sentir chez les personnes et dans les secteurs les plus vulnérables. Les deux confinements mis en place pour endiguer la pandémie ont fait vivre un cruel paradoxe aux associations de lutte contre la pauvreté ."
Pour 19% des ménages wallons, l’accès à l’eau ne coule pas de source. André Frédéric propose des pistes inspirées des auditions au Parlement wallon.
Les auditions sur la précarité hydrique, organisées au Parlement wallon en janvier, ont mis en avant une réalité peu connue chez nous: un ménage wallon sur cinq ne dispose pas d’une quantité ou d’une qualité d’eau suffisante pour rencontrer ses besoins de base.
« On sait que, pour l’accès à l’énergie, c’est un ménage sur quatre qui est concerné. Mais c’est une situation dont on peut parler plus facilement. Par contre, être limité dans son accès à l’eau, ça touche bien plus à l’intimité des gens», commente André Frédéric, chef de groupe PS au Parlement wallon.
Il fait une série de propositions pour défendre un principe: l’eau est un bien commun et chacun doit pouvoir y accéder. «Même si les difficultés des ménages ne sont pas liées à leur seule facture d’eau.»
"Lancée en avril dernier, la ligne « urgence sociale » du 1718, le centre d’appels du Service public de Wallonie, a traité plus de 8.000 appels depuis le début de la crise de la Covid-19. Le portail luttepauvrete.wallonie.be a comptabilisé, quant à lui, 161.842 visites sur la même période. Ces dispositifs découlent de la mise en place d’une task force d’urgence sociale par le Gouvernement de Wallonie et le Réseau wallon de lutte contre la Pauvreté (RWLP). Objectif : informer et accompagner les personnes les plus vulnérables."
Lire l'article
"Plusieurs associations et syndicats du secteur de l’enseignement attirent l’attention de la Fédération Wallonie-Bruxelles : l’accès des familles à un équipement numérique de qualité reste très inégal. Sans aide urgente à l’acquisition, de nombreux élèves se retrouveront en décrochage scolaire."
Lire la carte blanche publiée dans LE SOIR
60 structures en lien avec la jeunesse demandent la tenue d’une conférence interministérielle permettant la création d’une Stratégie jeunesse dès 2021 comprenant notamment un Plan de relance spécifique co-construit avec les jeunes et l’associatif jeunes.
Ces dernières semaines, les cris d’alerte et de détresse des jeunes sur la manière dont ils/elles vivent cette période de pandémie ne font que se succéder. Voilà maintenant presque un an que l’on demande aux jeunes de tout sacrifier. Les constats sont affligeants : perte de sens, perte d’emploi (CDI, CDD, intérim, job étudiant), perte de liens sociaux, diminution de la qualité de leur enseignement, …
Être jeune en 2021 se résume à la perte de beaucoup de choses et à l’amplification des problèmes déjà présents avant la pandémie.
La question de la santé mentale des jeunes doit, plus que jamais, faire l’objet d’une attention extrême de la part de nos politiques. En effet, on leur rappelle quotidiennement leurs devoirs (qu’ils/elles respectent autant que leurs ainé·e·s) et même parfois leur responsabilité (infondée) dans la propagation de l’épidémie. À plus long terme, on leur prédit un avenir noir où ils/elles seront les premières victimes de la crise post-covid. Mais qu’en est-il de leurs droits ? Quelles perspectives quant à leur avenir ?
On évoque un assouplissement de certaines règles dans les prochains, jours mais cela ne sera clairement pas suffisant ! Le Forum et les co-signataires demandent des perspectives et des garanties concrètes pour les jeunes dans toute une série de domaines. Pour ça, un Plan de relance, et surtout de résilience, avec la jeunesse au centre des préoccupations, est nécessaire.
Aujourd’hui, les co-signataires de la présente carte blanche demandent que les travaux relatifs à une Stratégie jeunesse soient lancés de toute urgence. Ceux-ci devront associer toutes les parties prenantes en lien avec la jeunesse ou accompagnant les jeunes, l’ensemble des niveaux de pouvoirs belges et les jeunes bien évidemment.
Cette Stratégie devra notamment comprendre les axes prioritaires suivants :
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Le lancement de processus de résilience permettant l’expression des ressentis des jeunes et la collecte de leurs paroles. À ce titre, toutes les structures prenantes en lien avec la jeunesse ou accompagnant les jeunes sont des forces motrices incontournables qui, par la reprise de leurs activités, offriront aux jeunes des espaces d’expression.
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La création d’un Plan de relance transversal prenant en compte les résultats du processus de résilience et les besoins qui en découlent afin de donner des perspectives d’avenir aux jeunes.
Il est plus qu’urgent que les jeunes dans toute leur diversité soient placé·e·s au centre des préoccupations et des débats. Lutter contre la dégradation de leur santé mentale et de leurs conditions matérielles d’existence passe également par les perspectives d’avenir que la société va leur proposer. La réponse politique qui leur sera donnée aujourd’hui, ou non, déterminera si la prochaine pandémie sera celle de la santé mentale des jeunes.
Revue de presse: RTBF - VivreICI - DHnet - SUD INFO - Le Soir
"Cela fait des années que tout le monde sait que certaines allocations sociales sont trop faibles, appuie Christine Mahy. Non seulement le gouvernement ne les a pas relevées jusqu'à présent mais, en outre, il met en place des procédures d'exclusion de ces droits." "Le redéploiement de l'aide alimentaire est pour partie le fruit amer d'un renoncement aux idéaux de la sécurité sociale"