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Médias
Dans l'émission Libres, ensemble, consacrée à la pièce "Apnée" qui aborde la question du surendettement, Christine Mahy est revenue sur la manière dont les personnes surendettées sont perçues dans notre société : "𝘛𝘳𝘦̀𝘴 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘤𝘦𝘳𝘯𝘦́𝘦𝘴, 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘭𝘦 𝘥'𝘦𝘯 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦𝘳. 𝘗𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘰𝘯 𝘢 𝘵𝘦𝘯𝘥𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘪𝘳𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘧𝘢𝘶𝘵𝘦, 𝘢̀ 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘶𝘭𝘱𝘢𝘣𝘪𝘭𝘪𝘴𝘦𝘳. 𝙌𝙪𝙚𝙡 𝙚𝙨𝙩 𝙡'𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙧𝙚̂𝙩 𝙙'𝙚𝙣𝙛𝙤𝙣𝙘𝙚𝙧 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙪𝙣 𝙥𝙚𝙪 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙡𝙖 𝙩𝙚̂𝙩𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙨 𝙡'𝙚𝙖𝙪 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙙𝙪 𝙟𝙪𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙤𝙪 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙝𝙤𝙣𝙩𝙚?"
L’État a, lui aussi, un rôle à jouer : "𝙄𝙡 𝙛𝙖𝙪𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙧𝙚́𝙥𝙤𝙣𝙨𝙚𝙨 𝙨𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨, 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘷𝘦𝘯𝘶𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘢𝘥𝘦́𝘲𝘶𝘢𝘵𝘴, 𝘲𝘶𝘦 𝘤𝘦 𝘴𝘰𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘪𝘴𝘴𝘶𝘴 𝘥𝘶 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭 𝘰𝘶 𝘷𝘪𝘢 𝘥𝘦𝘴 𝘢𝘭𝘭𝘰𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴. 𝘋𝘦𝘴 𝘭𝘰𝘺𝘦𝘳𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘣𝘢𝘴, 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘢𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦́ 𝘥𝘪𝘮𝘪𝘯𝘶𝘦𝘯𝘵... 𝘐𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘦́ 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘦𝘤𝘵𝘳𝘪𝘤𝘦 𝘦𝘯𝘤𝘰𝘳𝘦 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘯𝘦 𝘭'𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥'𝘩𝘶i."
Retrouvez toute la séquence en cliquant ici.
Ce dimanche 26 novembre, 𝗹𝗲 𝗥𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂 𝗪𝗮𝗹𝗹𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗟𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́ 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 organisée par Mirabal Belgium.
L'occasion de dénoncer toutes les violences faites aux femmes 𝗱𝗼𝗻𝘁, 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶, 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝘃𝗶𝗰𝘁𝗶𝗺𝗲𝘀, comme l'explique Céline, du Réseau Wallon, sur BX1 : "𝘓𝘦 𝘴𝘵𝘢𝘵𝘶𝘵 𝘤𝘰𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵·𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘣𝘰𝘯 𝘦𝘹𝘦𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘪𝘵 𝘥'𝘢𝘣𝘰𝘳𝘥 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴. 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘪𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘥𝘦́𝘫𝘢̀ 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵𝘦́𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘢𝘶 𝘤𝘩𝘰̂𝘮𝘢𝘨𝘦, 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘢𝘶 𝘊𝘗𝘈𝘚, 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘯𝘵 𝘮𝘢𝘭𝘢𝘥𝘦𝘴..."
Retrouvez le reportage de BX1 ici.
Dans le podcast "Le Tournant" de Arnaud Ruyssen sur La Première - RTBF, Christine Mahy est revenue sur l'offre des transports en commun en milieux ruraux... mais aussi sur l'ensemble de la Belgique : "𝘐𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘭𝘦 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥'𝘩𝘶𝘪 𝘲𝘶'𝘩𝘪𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘱𝘰𝘳𝘵𝘴 𝘦𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯. 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘦 𝘤𝘢𝘴, 𝘴𝘶𝘳𝘵𝘰𝘶𝘵, 𝘦𝘯 𝘧𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘫𝘰𝘶𝘳𝘯𝘦́𝘦. 𝘔𝘰𝘪, 𝘫𝘦 𝘭𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘤𝘢𝘥𝘳𝘦 𝘥'𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘰𝘯 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭 𝘦𝘯 𝘴𝘰𝘪𝘳𝘦́𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪, 𝘱𝘢𝘳 𝘦𝘹𝘦𝘮𝘱𝘭𝘦, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘢𝘶 𝘤𝘪𝘯𝘦́𝘮𝘢. 𝘓𝘢̀ 𝘰𝘶̀ 𝘫𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘢𝘪𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘵𝘦𝘳 𝘴𝘶𝘳 𝘕𝘢𝘮𝘶𝘳 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘶𝘯 𝘧𝘪𝘭𝘮 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘪𝘳 𝘢𝘶𝘱𝘢𝘳𝘢𝘷𝘢𝘯𝘵, 𝘤𝘦 𝘯'𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥'𝘩𝘶𝘪, 𝘱𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘭'𝘰𝘧𝘧𝘳𝘦 𝘯𝘦 𝘭𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘦𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴."
Et paradoxalement, donc, alors que l'on ne cesse de dire qu'il faut moins prendre la voiture pour réduire les émissions de CO², les citoyen·nes se retrouvent obligés de reprendre leur véhicule : "𝙈𝙤𝙞, 𝙟'𝙖𝙞 𝙡𝙖 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙙'𝙚𝙣 𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙪𝙣... 𝙈𝙖𝙞𝙨 𝙖𝙪 𝙍𝙚́𝙨𝙚𝙖𝙪 𝙒𝙖𝙡𝙡𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙇𝙪𝙩𝙩𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙡𝙖 𝙋𝙖𝙪𝙫𝙧𝙚𝙩𝙚́, 𝙦𝙪𝙖𝙨𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 100% 𝙙𝙚𝙨 𝙏𝙚́𝙢𝙤𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙪 𝙑𝙚́𝙘𝙪 𝙈𝙞𝙡𝙞𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙣'𝙚𝙣 𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨, 𝙣𝙚 𝙥𝙚𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙨𝙚 𝙡𝙚 𝙥𝙚𝙧𝙢𝙚𝙩𝙩𝙧𝙚, 𝙚𝙩 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙙𝙤𝙣𝙘 𝙩𝙤𝙩𝙖𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙩𝙧𝙞𝙗𝙪𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡'𝙤𝙛𝙛𝙧𝙚 𝙩𝙧𝙖𝙣𝙨𝙥𝙤𝙧𝙩 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚́𝙥𝙡𝙖𝙘𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨."
Ce qui conduit à des situations très problématiques : "𝘓'𝘰𝘧𝘧𝘳𝘦 𝘦́𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘪𝘯𝘴𝘶𝘧𝘧𝘪𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦, 𝘦𝘯 𝘵𝘦𝘳𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘧𝘳𝘦́𝘲𝘶𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘣𝘶𝘴 𝘰𝘶 𝘥𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶'𝘢𝘶 𝘯𝘪𝘷𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘦𝘴 𝘩𝘰𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴, 𝙘𝙚𝙧𝙩𝙖𝙞𝙣𝙨 𝙧𝙚𝙣𝙤𝙣𝙘𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́ 𝙚𝙣 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞𝙚, 𝙧𝙚𝙣𝙤𝙣𝙘𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙙𝙚𝙨 𝙡𝙞𝙚𝙣𝙨 𝙨𝙤𝙘𝙞𝙖𝙪𝙭, 𝙧𝙚𝙣𝙤𝙣𝙘𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙖𝙡𝙡𝙚𝙧 𝙖̀ 𝙙𝙚𝙨 𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨, 𝙖̀ 𝙖𝙡𝙡𝙚𝙧 𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙚𝙣𝙛𝙖𝙣𝙩 𝙦𝙪𝙞 𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙚𝙪𝙩 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙥𝙡𝙖𝙘𝙚́ 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙪𝙣𝙚 𝙞𝙣𝙨𝙩𝙞𝙩𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙'𝙖𝙞𝙙𝙚 𝙖̀ 𝙡𝙖 𝙟𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨𝙨𝙚, 𝙚𝙩𝙘, 𝙚𝙩𝙘..."
Étant une "fan" des transports en commun, Christine Mahy a du mal à comprendre "𝙦𝙪'𝙞𝙡 𝙛𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙫𝙖𝙞𝙣𝙘𝙧𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙪 𝙜𝙤𝙪𝙫𝙚𝙧𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙚 𝙨𝙤𝙞𝙩 𝙩𝙚𝙡𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙧𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙚𝙩 𝙖𝙪𝙨𝙨𝙞 𝙦𝙪'𝙞𝙡 𝙛𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙫𝙖𝙞𝙣𝙘𝙧𝙚 𝙦𝙪'𝙤𝙣 𝙜𝙖𝙧𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙡𝙖 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡'𝙚𝙨𝙥𝙧𝙞𝙩 𝙙𝙪 𝙨𝙚𝙧𝙫𝙞𝙘𝙚 𝙥𝙪𝙗𝙡𝙞𝙘 𝙖𝙗𝙨𝙤𝙡𝙪𝙢𝙚𝙣𝙩!"
Retrouvez l'interview de Christine Mahy ici.
Retrouvez aussi les deux autres podcasts "Le Tournant" consacrés à la mobilité ici et ici.
Octroyer aux personnes qui vivent dans la précarité un revenu qui leur assure une réelle autonomie, c'est ce qui ressort du mémo sur l'argent des pauvres.
Une enquête de terrain que l'on doit à la collaboration des asbl RTA et Réseau de lutte contre la Pauvreté. Ce mémo vient d'être rendu public ce 19 décembre par les protagonistes de cette recherche-participative.
Le reportage de Bouké. Une invitation à lire toute cette recherche-participative qui dès les premières pages vous donneront envie d'aller jusqu'au bout. Un outil d'animation, de réflexion, pour travailler avec des groupes. N'hésitez pas à contacter le RWLP si vous souhaitez porter une telle réflexion. Le lien vers le texte complet
𝗦𝗼𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝘂𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗼𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 !
𝗟'𝗲́𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗙𝗼𝗿𝘂𝗺 sur Antenne Centre est revenue sur les difficultés de plus en plus importantes que rencontrent les CPAS et les communes pour 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́, 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀, 𝗮𝘂 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝘀'𝗲́𝗹𝗮𝗿𝗴𝗶𝗿.
Comment "gérer" cette précarisation galopante ? Pour Christine Mahy, il faut "𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦́𝘱𝘰𝘯𝘴𝘦𝘴 𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴, 𝘢̀ 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘯𝘪𝘷𝘦𝘢𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘮𝘢𝘯𝘪𝘦̀𝘳𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘷𝘦𝘳𝘴𝘢𝘭𝘦. 𝘓𝘢 𝘭𝘶𝘵𝘵𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́𝘴, 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘤𝘩𝘰𝘪𝘹. 𝘚𝘪 𝘭'𝘰𝘯 𝘥𝘦́𝘤𝘪𝘥𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦 𝘱𝘳𝘪𝘴𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘭𝘶𝘵𝘵𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦𝘵𝘦́, 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦́𝘤𝘪𝘴𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘪𝘴𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦́𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘉𝘦𝘭𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘰𝘶𝘪, 𝘰𝘯 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘴𝘰𝘳𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦𝘵𝘦́ !"
𝗚𝗲́𝗿𝗲𝗿 𝗼𝘂 𝗲́𝗿𝗮𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́: 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘅 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗲́.
Retrouvez l'émission Forum en cliquant ici.
Plusieurs communes on pris la décision, en janvier 2024, d'interdire de dormir dehors, ces derniers jours, suite au températures négatives qui sont arrivées en Belgique.
Une triste décision pour Christine Mahy, Secrétaire générale du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, dans Le Soir : "𝙇𝙚𝙨 𝙙𝙞𝙨𝙥𝙤𝙨𝙞𝙩𝙞𝙛𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙧𝙞𝙨𝙚 (comme devraient l'être les abris de nuit) 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙙𝙚𝙫𝙚𝙣𝙪𝙨 𝙨𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚𝙡𝙨. Quand on doit arriver à prendre des mesures liberticides comme celle-ci (utiliser la contrainte pour mettre les gens à l'abri) pour sauver des vies, c'est que quelque-chose n'a pas fonctionné avant. 𝘾'𝙚𝙨𝙩 𝙢𝙖𝙡𝙝𝙚𝙪𝙧𝙚𝙪𝙭 𝙙'𝙚𝙣 𝙖𝙧𝙧𝙞𝙫𝙚𝙧 𝙡𝙖̀ 𝙥𝙖𝙧 𝙧𝙖𝙥𝙥𝙤𝙧𝙩 𝙖𝙪 𝙨𝙖𝙣𝙨-𝙖𝙗𝙧𝙞𝙨𝙢𝙚."
Bien sûr, dans la situation actuelle, 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲́𝗴𝗶𝘁𝗶𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗼𝗶𝗿 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗲𝗻𝘀 𝗮̀ 𝗹'𝗮𝗯𝗿𝗶, 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝘃𝗼𝗹𝗼𝗻𝘁𝗲́. Mais cette mesure a aussi des effets pervers : certain·es sont découragé·es des abris qui sont si souvent complets tout au long de l'année, ils ou elles sont aussi, souvent, découragé·es, et même méfiant·es de tout le système, qui leur a procuré tant de désillusions. 𝗨𝘀𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝗶𝗻𝘁𝗲, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝘂𝘅-𝗰𝗶 𝗲𝘁 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀-𝗰𝗶 𝘀𝗲 𝗰𝗮𝗰𝗵𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿𝗶𝘁𝗲́𝘀, 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗵𝗮𝗯𝗶𝘁𝘂𝗲𝗹𝘀 𝗼𝘂̀ 𝗶𝗹𝘀 𝘀𝗲 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗶𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗶𝗻𝘀𝗶 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗮𝗱𝗮𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝘀𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝘃𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗵𝗮𝗯𝗶𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝘀𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗻 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿.
𝗗𝘂 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗻𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 ! Si ces mesures d'urgence sont compréhensibles par ces temps particuliers, elles sont aussi 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗿𝗲𝘂𝘃𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝗶𝗹𝗹𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗲́𝘁𝗲́, une société qui choisit de gérer la pauvreté plutôt que d'y apporter des réponses structurelles : 𝗹𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲𝗿 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝘀𝗮𝗻𝘀-𝗮𝗯𝗿𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀, 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲 𝗼𝘂 𝗻𝗼𝗻, 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗲𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘃𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗿𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗯𝗿𝗶𝘀, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝘀𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗾𝘂'𝗶𝗹𝘀 𝗼𝘂 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗻'𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗷𝘂𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗿𝘂𝗲 !
Retrouvez l'article complet dans Le Soir en cliquant ici.
Les premières victimes du froid qui a touché la Belgique en janvier 2024 sont, à nouveau, les personnes les plus précarisées. Elles vivent dans 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗺𝗮𝗹 𝗶𝘀𝗼𝗹𝗲́𝘀, 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗰𝗵𝗮𝘂𝗳𝗳𝗲𝗿, 𝗲𝘁 𝘀𝗲 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗼𝗯𝗹𝗶𝗴𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘅 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝘁𝗿𝗼𝗽 𝗳𝗿𝗼𝗶𝗱 𝗲𝘁 𝗱'𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝘀, comme trois militant·es du Réseau en témoignent dans le journal Le Soir.
Une nouvelle preuve de l'enjeu essentiel que représente le logement : 𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗱'𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗯𝗮̂𝘁𝗶 𝗲𝘅𝗶𝘀𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗼𝘃𝗼𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱'𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀, 𝗽𝗹𝗼𝗻𝗴𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗴𝗲𝗻𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́. Il est plus que temps que la Wallonie face du logement le cœur de sa politique, augmente le nombre de logements disponibles, aide les propriétaires à pouvoir rénover sans devoir augmenter les loyers, déjà trop élevés pour une grande partie de la population... 𝗜𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́ 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́ !
Retrouvez l'article complet en cliquant ici !
Retrouvez nos propositions concernant le logement dans 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗣𝗮𝗰𝘁𝗲 𝗟𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁-𝗘𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗿𝘁𝗲𝗳𝗲𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗣𝗹𝗮𝘁𝘀, que nous espérons voir la prochaine majorité wallonne inclure dans sa future déclaration de politique régionale !
𝗤𝘂'𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘀𝘀𝗲 𝗳𝗿𝗼𝗶𝗱 𝗲𝗻 𝗷𝗮𝗻𝘃𝗶𝗲𝗿, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗻𝗼𝗿𝗺𝗮𝗹... 𝗖𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗻𝗼𝗿𝗺𝗮𝗹, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗱'𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗳𝗿𝗼𝗶𝗱 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝘀𝗼𝗶 !
Les températures négatives de janvier 2024 ont remis douloureusement en exergue 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻𝗱𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗿𝗮𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝗻 𝗪𝗮𝗹𝗹𝗼𝗻𝗶𝗲 : 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 ! Le manque de logements mais surtout le manque de logements de qualité, qui posent des difficultés toute l'année à celles et ceux qui n'ont pas les moyens de rénover ou d'habiter dans des bâtiments mieux isolés, situés, moins énergivores.
Invitée au journal de Matélé, Christine Mahy a rappelé 𝗹'𝗮𝗺𝗽𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲 𝗲𝗻 𝗪𝗮𝗹𝗹𝗼𝗻𝗶𝗲 : "Tout le territoire wallon est touché. 𝙊𝙣 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙞𝙙𝙚̀𝙧𝙚 𝙦𝙪'𝙪𝙣𝙚 𝙝𝙖𝙗𝙞𝙩𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙨𝙪𝙧 𝙙𝙚𝙪𝙭, 𝙖̀ 𝙙𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙜𝙧𝙚́𝙨 𝙙𝙞𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙨𝙪̂𝙧, 𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩-𝙥𝙖𝙨𝙨𝙤𝙞𝙧𝙚, 𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙞𝙩, 𝙦𝙪'𝙞𝙡 𝙣'𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙨𝙪𝙛𝙛𝙞𝙨𝙖𝙢𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙞𝙨𝙤𝙡𝙚́. Et les premier·ères touché·es sont évidemment les plus précarisé·es, celles et ceux qui n'ont pas les moyens de faire les rénovations. 𝙄𝙡 𝙛𝙖𝙪𝙩 𝙙𝙤𝙣𝙘 𝙪𝙣 𝙞𝙣𝙫𝙚𝙨𝙩𝙞𝙨𝙨𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙥𝙪𝙗𝙡𝙞𝙘 𝙢𝙖𝙨𝙨𝙞𝙛 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, que ce soit dans la création de logements sociaux, mais aussi dans l'isolation des logements privés pour ceux qui ne peuvent pas le faire, en soutenant les propriétaires et en s'assurant que les loyers n'augmentent pas."
𝗨𝗻𝗲 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲, qui touche donc tout le monde : "Si l'on ne touche pas d'abord les logements des plus faibles revenus, nous n'arriverons jamais à atteindre nos objectifs pour lutter contre le réchauffement climatique... 𝙀𝙩 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙧𝙞𝙘𝙝𝙚𝙨 𝙫𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙢𝙚̂𝙢𝙚 𝙩𝙚𝙧𝙧𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙥𝙖𝙪𝙫𝙧𝙚𝙨 𝙙𝙤𝙣𝙘, 𝙨𝙞 𝙡'𝙤𝙣 𝙣𝙚 𝙨'𝙖𝙩𝙩𝙖𝙦𝙪𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙖̀ 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙦𝙪𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙞𝙡𝙨 𝙣'𝙖𝙪𝙧𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙣𝙤𝙣 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙𝙚 𝙥𝙡𝙖𝙣𝙚̀𝙩𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 !"
𝗦'𝗮𝘁𝘁𝗮𝗾𝘂𝗲𝗿 𝗽𝗿𝗶𝗼𝗿𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗺𝗮𝘀𝘀𝗶𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, c'est ce que le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté réclame auprès du prochain gouvernement wallon en intégrant le Pacte Logement-Energie pour les Portefeuilles Plats dans sa prochaine déclaration de politique régionale.
Retrouvez l'intervention de Christine Mahy sur MATélé en cliquant ici.
Retrouvez le pacte logement énergie en cliquant ici.
"𝙐𝙣 𝙚𝙪𝙧𝙤 𝙞𝙣𝙫𝙚𝙨𝙩𝙞 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙚𝙪𝙧𝙤𝙨 𝙜𝙖𝙜𝙣𝙚́𝙨 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́!"
Un wallon sur quatre ne peut plus se payer les soins de santé. 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗯𝗲𝗮𝘂𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱'𝗵𝘂𝗶, 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶𝗿 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝘀𝗲 𝘀𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝗿 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. Christine Mahy était l'invitée de Matin Première sur La Première - RTBF pour aborder la question de l'accès à la santé. Et malheureusement, 𝗰𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘀𝗲́𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗹 𝗮̀ 𝗮𝗰𝗰𝗲́𝗱𝗲𝗿 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 : "𝘚𝘪 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴'𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘮𝘦́𝘭𝘪𝘰𝘳𝘦́𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘦́𝘯𝘦́𝘳𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵𝘦𝘴, 𝘥𝘦̀𝘴 𝘲𝘶'𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘴𝘱𝘦́𝘤𝘪𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵𝘦𝘴, 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘱𝘦𝘶 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘪𝘦𝘳𝘴-𝘱𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵, 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘦́𝘥𝘪𝘤𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘰𝘶 𝘥𝘦 𝘥𝘦𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘩𝘦̀𝘴𝘦𝘴, 𝘭𝘶𝘯𝘦𝘵𝘵𝘦𝘴, 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘳𝘦𝘪𝘭𝘴 𝘢𝘶𝘥𝘪𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘰𝘶 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴, 𝘤𝘦𝘭𝘢 𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘣𝘭𝘦̀𝘮𝘦. 𝙋𝙧𝙚́𝙛𝙞𝙣𝙖𝙣𝙘𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙞𝙣𝙨, 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙘𝙤𝙪𝙥, 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙧𝙚́𝙙𝙝𝙞𝙗𝙞𝙩𝙤𝙞𝙧𝙚 ! 𝙀𝙩 𝙤𝙣 𝙚𝙣 𝙫𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙚𝙣 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙙𝙚𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙘𝙝𝙤𝙞𝙨𝙞𝙧 𝙚𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙨𝙤𝙞𝙜𝙣𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙨 𝙚𝙣𝙛𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙚𝙩 𝙨𝙤𝙞-𝙢𝙚̂𝙢𝙚, 𝙧𝙚𝙢𝙥𝙡𝙞𝙧 𝙡𝙚 𝙛𝙧𝙞𝙜𝙤 𝙤𝙪 𝙖𝙘𝙝𝙚𝙩𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙡𝙪𝙣𝙚𝙩𝙩𝙚𝙨..."
𝗡𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁𝘀, qu'ils soient ou non issus du travail, cela produit des malades. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, parce que l'on reporte ses soins ou parce que, par manque de moyen, on ne se nourrit pas correctement ou l'on ne vit pas dans un environnement sain. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀, aussi, parce que vivre dans le stress permanent de savoir si l'on pourra, le lendemain, répondre aux besoins de sa famille ou payer son loyer ou son énergie, cela a des conséquences. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 enfin, parce que vivre dans de mauvaises conditions, être constamment montré du doigt, en tant que chômeur ou malade, notamment, cela provoque de la honte, cela isole : "𝙀𝙩 𝙖𝙪 𝙛𝙞𝙣𝙖𝙡, 𝙘𝙚𝙡𝙖 𝙖 𝙪𝙣 𝙘𝙤𝙪̂𝙩 𝙜𝙞𝙜𝙖𝙣𝙩𝙚𝙨𝙦𝙪𝙚 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́. 𝘚𝘪 𝘭'𝘰𝘯 𝘷𝘦𝘶𝘵 𝘥𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘨𝘰𝘳𝘨𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘩𝘰̂𝘱𝘪𝘵𝘢𝘶𝘹, 𝘨𝘢𝘨𝘯𝘦𝘳 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘦𝘯𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘦́ 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦, 𝘪𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘰𝘯. 𝘼𝙜𝙞𝙧 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙖𝙫𝙖𝙣𝙩 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙜𝙚𝙣𝙨 𝙖𝙧𝙧𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙡'𝙝𝙤̂𝙥𝙞𝙩𝙖𝙡, 𝙖𝙜𝙞𝙧 𝙨𝙪𝙧 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚́𝙩𝙚𝙧𝙢𝙞𝙣𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́, 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙚́𝙡𝙚́𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙫𝙞𝙚 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚."
Au rang desquels on trouve 𝙡𝙚 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙖𝙪𝙨𝙨𝙞 𝙡'𝙖𝙡𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙡'𝙖𝙘𝙘𝙚̀𝙨, 𝙮 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙧𝙞𝙨 𝙚𝙣 𝙩𝙚𝙧𝙢𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙢𝙤𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙖𝙪𝙭 𝙨𝙤𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙚 𝙥𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙡𝙞𝙜𝙣𝙚.
Retrouvez toute l'intervention de Christine Mahy en cliquant ici.
Un logement, c'est bien plus que quatre murs !
Selon le dernier thermomètre Solidaris Wallonie, la santé et le logement sont fortement liés. Les logements de moins bonne qualité concentrent les familles précarisées et… les soucis de santé.
Discussion autour de cette question dans l'émission Libres, Ensemble, du Centre d'Action Laïque, du 04 février 2024.